AUX URNES !!!

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur

les élections présidentielles !

Cour du Palais de l’Elysée. Source France5.fr

Les Elections présidentielles depuis 1958, la mise en place du suffrage universel direct, l’alternance, les meetings, les débats télévisés, la crise du 21/04/2002, les pouvoirs du Président, l’investiture…

Exposition réalisée par la classe de 1ère S2, en EMC.

 

AU CDI JUSQU’AU 9 MAI

Grand Prix du jury pour la classe de seconde 2 et ses pétillantes actus !

Félicitations aux élèves de la seconde 2 qui se sont mis dans la peau de reporters toute la journée du 23 mars en participant à l’opération e-reporter.

L’objectif était de rédiger des articles en prise avec l’actualité, les élèves ont dû respecter un certain nombre de règles :

  • Traiter les deux thèmes surprises dévoilés le matin même, à savoir Etre journaliste aujourd’hui et Environnement, qu’est-ce que Moi je peux faire. Deux conférences de presse étaient organisées sur ces thèmes.
  • Respecter les règles d’écriture journalistique et vérifier les informations, citer ses sources, utiliser des images libres de droit…

10 articles concernant l’actualité internationale, nationale et régionale ont été rédigés ce 23 mars.

crédit photo : CDIPerrier

Crédit photo : CDIPerrier

Travailler en groupe, respecter les délais  :

deux autres défis de la journée !

 

Le Palmarès complet est disponible ici

 

Le 4L trophy, plus qu’une simple compétition automobile

En voiture pour l’aventure du 4L trophy !

Source : http://www.fretterogerson.com/

Le point présentation

Chaque année est organisé le 4L trophy, le but est simple c’est une course automobile solidaire qui réunit plusieurs centaines d’équipages qui veulent venir en aide à une association nommée « Les enfants du désert ». Chaque voiture, en l’ occurrence une 4L, charge du matériel scolaire et le distribue par la suite dans le désert dans de petits villages isolés. De plus, de l’argent est récolté à l’inscription et des dons peuvent être effectués.

 

 

 

 

 

Lors de l’édition 2017, qui fêtait les 20 ans du 4L trophy, il y a eu 2900 participants – Source: francetvinfo.fr/

– Des personnalités « des internet »

Source : https://www.youtube.com/

Cette année 2 youtubeurs, Amixem et Super Konar, font vivre à leurs abonnés l’aventure du 4L trophy par le biais de vidéos publiées sur youtube. Ils montrent leurs problèmes techniques, les meilleurs moments tout cela condensé avec beaucoup d’humour. Non seulement ils ont apporté du matériel sportif et du matériel scolaire dans leurs bagages, mais ils ont aussi fait un chèque de 35 000€ à l’association « Les enfants du désert ».

 

–  Le point dons

L’association « Les enfants du désert » a récolté  42 900 € au départ de la course, et un gros don de 35000€ fait par les deux youtubeurs. Au fur et à mesure de l’arrivée des participants les dons sont disposés sur des tapis (cf : photos ci-dessous) : du matériel médical (fauteuils roulants, béquilles, …) du matériel informatique, des ampoules, du matériel sportif et beaucoup d’autres choses encore. L’argent récolté servira à forer des puits, construire des écoles…

source : http://enfantsdudesert.org/

 

Rémy Combe –

1 an après… une nouvelle capitale européenne touchée

Hier, mardi 22 mars 2017, en début d’après-midi, vers 14h40 (heure locale) à Londres, un 4×4 de couleur grise a foncé sur la foule qui se trouvait devant le Palais de Westminster, lieu où siège le Parlement britannique. Cette attaque a tout de suite été considérée comme une attaque terroriste islamiste par la police londonienne. L’assaillant a d’abord dévié sa trajectoire sur les passants se trouvant sur le Pont de Westminster en tuant 3 personnes. Il a ensuite fini sa course devant les grilles du Parlement, en sortant de sa voiture armé d’un couteau, puis il  a poignardé un officier de police âgé de 48 ans qui  a succombé à ses blessures. Quelques secondes après, l’assaillant a été abattu par un second officier qu’il avait tenté également de poignarder. Bilan total, 5 morts et une quarantaine de blessés.

Parmi ces blessés, 3 élèves du lycée Saint-Joseph, de Concarneau dans le Finistère, qui étaient en voyage scolaire à Londres. Ils étaient arrivés dimanche matin et avaient prévu de repartir vendredi. Le groupe scolaire visitait Londres quand il a été percuté par le véhicule. Parmi ces 3 blessés, 2 sont grièvement touchés mais leur pronostic vital n’est pas engagé. Les autres élèves du groupe qui comportait 92 jeunes ont été sécurisés dans un bateau sur la Tamise d’après la mère d’un lycéen qui était présent sur place.

Une voiture de police devant le lycée Saint-Joseph où les élèves reprennent les cours le 23 mars 2017 à Concarneau – AFP FRED TANNEAU

Au lycée Saint-Joseph, les élèves sont sous le choc. Enzo, un élève de 17 ans, en 1ère ES a exprimé son ressenti à un journaliste de l’AFP: « Ce sont des élèves de seconde qui ont entre 15-16 ans, c’est un choc pour tous les élèves qui sont au lycée et même au collège. Les élèves qui étaient là-bas et qui ont vu leurs camarades se faire percuter par une voiture, c’est un choc extrême! »

L’AFP a également recueilli le témoignage d’Héloïse, une élève de 1ère S : « Tout le monde est sous le choc. Que ce soit en seconde, en première ou en terminale, on est   choqués » Cette attaque lui rappelle « celle du Bataclan, où une ancienne élève a été tuée. »

Nous avons recueilli quelques paroles de plusieurs élèves de 2nde du lycée Edmond Perrier à Tulle que nous qualifierons de « poignantes» au sujet de la paix dans le monde d’aujourd’hui. Léa : « Je suis triste, touchée, atteinte. Je ne me sens plus en sécurité car à tout moment tout peut basculer. »

D’autres élèves témoignent: « On ne sait pas ce qu’il peut se passer, ni quand, ni à qui ça peut arriver », « On ne peut rien faire face à un acte comme celui-ci », « J’ai peur mais si on se met à avoir peur de tout on ne sort plus », « il y a toujours un peu d’appréhension » « Ca nous enferme, on a peur d’aller dans les lieux publics », « Ca peut modifier l’avis politique », « J’ai peur sans avoir peur »

Aujourd’hui les attentats sont « réguliers » dans le monde occidental. De nombreux actes terroristes frappent l’Europe, et le monde se pose alors la question : « Peut-on éviter ces attaques ? »

Elise,Antonin,Vivien

 

Syrie : triste anniversaire

Ces 6 dernières années, la Syrie est déchirée par une terrible guerre civile. Après 6 ans de conflits, la Syrie compte entre 320 000 et 470 000 morts et 11 millions de déplacés et réfugiés. D’un côté les forces gouvernementales appuyées par la Russie et de l’autre les rebelles s’affrontent. Le conflit syrien est selon l’ONU, « la pire catastrophe provoquée par l’homme depuis la seconde guerre mondiale ».

Ces derniers jours, les hostilités ont repris à Damas, la capitale syrienne. Des factions rebelles et le Front Fateh la Cham, l’ex branche syrienne d’Al-Quaïda, ont lancé une nouvelle attaque sur la ville à partir du quartier de Qaboun (Nord Est de la ville). Les combats se concentraient à quelque 10 km du centre ville.
Damas, le principal bastion du président Bachar al-Assad  était plutôt épargné par la guerre depuis le début du conflit. Un premier assaut, lancé  par les rebelles leur avaient permis de se rapprocher du centre ville mais, ils ont été repoussés par l’aviation militaire, le principal atout de l’armée syrienne.
Et pourtant, alors que les combats continuent à faire rage, une troisième session de négociations a débuté ce mardi à Astana, capitale du Kazakhstan, malgré l’absence annoncée de l’opposition syrienne pour cause de  » promesses non tenues liées à la cessation des hostilités ». Ces négociations ne devraient pas se conclure sur de meilleurs avancées que les deux précédentes car le gouvernement syrien veut reprendre le contrôle de la totalité du pays et laisser Bachar al-Assad au pouvoir alors que l’opposition syrienne continue et ne cesse d’exiger le départ du président al-Assad.

Ainsi, ce conflit est loin d’être fini car les deux parties campent sur leurs positions. L’avenir de la Syrie et de ses habitants est très incertain. Le conflit a déjà fait beaucoup de victimes et en fera sûrement d’autres si les deux camps n’arrivent pas à s’entendre sur des conditions de paix.

C’est humainement de moins en moins tolérable pour tous les hommes de bonne volonté sur cette Terre.

 

Julien, Sasha, Caroline, Agathe, Léa

Les actions du SIDACTION :

Tout commence en 1980 aux Etats-Unis. Trois cas d’une forme rare de pneumonie sont diagnostiqués sur trois jeunes hommes homosexuels. Le Center for Disease Control d’Atlanta déclare alors le 5 juin 1981 de nombreuses personnes touchées par la maladie: tous des hommes homosexuels. 31 cas identiques sont alors décelés 15 jours après. Il est tout d’abord appelé «  gay syndrome » ou GRID (Gay Related Immune Deficiency). Des recherches sont lancées vers la fin de l’année 1981. Les chercheurs découvrent alors que la maladie n’est pas seulement sexuellement transmissible, le sang est aussi un moyen de transmission. Les UDI ( Utilisateurs de Drogues Injectables ) et les personnes transfusées deviennent aussi des cas. La maladie prend alors une ampleur mondiale à partir de 1982.

Logo SIDACTION

Le SIDACTION est la seule association française à lutter contre le VIH (Virus Immunitaire Humain) et le « gay-syndrome » de son nom actuel: SIDA ( Syndrome ImmunoDéficience Acquise) qui touche 36,7 millions de personnes dans le monde dont 150 000 vivant avec le VIH en France. SIDACTION a été créé en 1994. Les dons des bénévoles permettent de financer les programmes de recherche de vaccination et de la prévention de cette maladie. Une collecte de fonds est organisée par l’association chaque année. Le SIDACTION mobilise de nombreuses chaînes de télévision et de radio pour présenter la maladie du SIDA et ses actions pour l’endiguer. Cette action aura lieu en France du 24 au 26 mars 2017.
Une journée mondiale de lutte contre le SIDA est également organisée tous les 1er décembre depuis 1988.

Source:
SIDACTION : https://2017.sidaction.org/
Passeport Santé : http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sida_pm
Institut Pasteur: https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/sida-vih

Rédactrices :

Agathe De la porte des Vaux, Bassaler Léa, Savoyat Caroline, Julien Duverger, Sasha Mercier.

France Parkinson : bientôt un comité départemental en Corrèze.

L’association France Parkinson est implantée dans de nombreux départements mais il n’y avait pas encore d’antenne en Corrèze.Très récemment une réunion s’est déroulée à Seilhac afin de concrétiser la création d’un comité départemental.

La maladie
La maladie de Parkinson est diagnostiquée autour dès 58 ans et elle touche environ 200 000 personnes. Les symptômes majeurs de cette maladie sont la lenteur dans les mouvements, la rigidité des muscles et les tremblements au repos. Il existe différents traitements comme la chirurgie ou les médicaments. Les facteurs environnementaux et la forte exposition aux produits chimiques et aux solvants est une des causes de cette maladie.

Entretien

Madame Monteiro de St Viance est à l’initiative de la création de cette association corrézienne et déléguée titulaire, elle a accepté de répondre à nos questions (entretien téléphonique du 23 mars) : 
Axelle et Anissa : Pourquoi le projet d’un Comité Départemental France Parkinson en Corrèze ?
Maryse Monteiro : « Parce qu’il y a beaucoup de personnes atteintes de Parkinson en Corrèze ».
Axelle et Anissa : Pourquoi vous investissez-vous pour cette cause ?
Maryse Monteiro : « J’ai décidé de prendre le taureau par les cornes et de faire quelque chose pour les nombreuses personnes atteintes de Parkinson car j’ai moi-même une personne proche qui souffre de cette maladie».
Axelle et Anissa : A propos de la journée mondiale de Parkinson le 11 avril, quelles sont actions en Corrèze ?
Maryse Monteiro : « A l’hôpital de Brive, il y aura un accueil des patients et de leurs proches ».

crédit photo : FranceParkinson.fr

Un centre d’éducation thérapeutique est en projet au centre hospitalier de Tulle qui permettra d’aider les laboratoires à la recherche d’un autre traitement.
Par ailleurs, une marche sera organisée à Saint-Martial de Gimel le samedi 27 mai, et les bénéfices seront reversés à l’association France Parkinson.
L’association est un soutien moral pour les patients et leurs proches et un comité départemental leur sera d’une grande aide.

Pour info : www.franceparkinson.fr

Axelle et Anissa

La vie d’une jeune journaliste, selon Sarah.

La vie d’une jeune journaliste, selon Sarah

Crédit photo : Alexia

Sarah Bourletias , n’est pas passée par une grande école de journalisme. Cette Clermontoise de 24 ans a choisi pour devenir journaliste le contrat de professionnalisation. Une formation qui alterne entre pratique et théorie.

Comment se déroule votre formation ?

« Mon contrat de professionnalisation se déroule sur 2 ans pendant lesquels j’alterne entre des périodes de 5 semaines en entreprise, où je travaille à l’agence La Montagne de Tulle, et d’autres de deux semaines où je suis à l’école à l’ESJ pro de Montpellier. »

Pourquoi êtes vous venue à cette manifestation ?

Crédit photo : Alexia

« En tant que titre de presse quotidienne régionale nous sommes amenés à couvrir tout ce qui concerne l’actualité locale. Cela peut aussi bien concerner l’assemblée générale des pêcheurs de la Corrèze que des faits de société plus larges comme la façon dont la sexualité est abordée avec des élèves du lycée Edmond Perrier  »

Travaillez-vous toujours avec un photographe ?

 » Ce n’est pas une obligation, le journaliste peut prendre ses photos lui-même mais il est toujours plus intéressant de travailler avec un photographe auquel cas c’est un vrai travail de binôme. Journaliste et photographe appréhendent ensemble un sujet, le journaliste choisit un angle c’est à dire une façon de le traiter et le photographe doit prendre une photo qui va illustrer cet angle »

Laissez-vous transparaître votre opinion personnelle à travers vos articles ?

Crédit vidéo : Romane

Rédaction : Alexia, Romane, Avva, Mathilde

À la découverte du métier de journaliste.

Dans le cadre de l’opération E – Reporter, nous avons assisté à une conférence de presse ce jeudi 23 mars au conseil départemental de Tulle, où nous avons pu interviewer quatre journalistes : Philippe Graziani journaliste de France bleu Limousin, Céline Chastenet directrice d’antenne de RGB, Karène Bellina journaliste à l’échos et Marie – France Tharaud journaliste à France 3 Limousin.
Pour être journaliste aujourd’hui, il faut impérativement faire des études de journalisme, Avoir son bac pour obtenir une licence de journalisme. Les journées d’un journaliste sont plus ou moins semblables ; aux alentours de 9h c’est l’ouverture des mails, du courrier et la découverte des nouvelles actualités : par les réseaux sociaux ( Twitter, Facebook ), dans la presse écrite, par la radio, dans les brèves de l’AFP. Le journaliste doit faire des reportages en les montant avec ordinateurs pour le journaliste qui diffuse les actualités à la radio, pour le journaliste de la presse écrite, lui doit rédiger les articles qui seront publiés dans le journal ou gérer la musique de la radio. Une journée normale se termine en moyenne vers 18h – 18h30. Les stations de journalisme peuvent être appelés en plein milieu de la nuit, tard le soir ou tôt le matin pour couvrir un événement grave ou important.  » C’est l’actualité qui définit nos horaires  » explique Philippe Graziani, journaliste de France Bleu Limousin. C’est un métier difficile car il  » prend beaucoup de temps et laisse peu de place à la vie personnelle  » témoigne Karème Bellina journaliste de l’Echos.
Cette conférence de presse nous a permis de mieux comprendre les multiples difficultés auxquelles peut se heurter au quotidien. Un métier passionnant, oui mais… épuisant aussi.

Chloé, Élise, Vivien, Anthonin, Léa.L.