Semaine citoyenne au Lycée Edmond Perrier
Sur le grand planisphère du CDI, chacun peut tirer le fil de sa migration.?
© photo elise baïera
Cliquer sur l’image pour accéder à l’article paru sur Lamontagne.fr
Pétillantes actus de Perrier !
Blog d'actualité du Lycée Edmond Perrier
De la séparation aux retrouvailles avec son père, la découverte de nouveaux pays, l’apprentissage de nouvelles langues : c’est l’histoire de Nora*, élève de seconde à Edmond-Perrier.
Illustration d’un cours d’espagnol et de catalan © Agence TULLE
Cliquer sur l’image pour accéder à l’article de La Montagne.fr
*le prénom a été changé
Leïla*, lycéenne à Edmond-Perrier, témoigne du périple familial depuis le Maroc jusqu’à Tulle, en rêve de travail, d’études et d’une vie meilleure.
Cliquer sur l’image pour accéder à l’article paru sur Lamontagne.fr
(*Le prénom a été changé)
Crédit photo : CDIPerrier
October2nd, 1894
My dear family,
I arrived at Ellis Island on the first of September 1894. During a long travel in the boat, the conditions were very crowded and uncomfortable. It was very hard for me, I slept in straw and the space was very small because we were a lot of people. But even if it was difficult, it was the only way to have a better life.
I will never forget the first thing I saw when I arrived here, it was the Statue of Liberty, it was amazing! I believe in the American dream because I want to have a better life…a better future in the United States.
Then, I was examined with other immigrants by two doctors. After the medical examination, we were asked questions by a clerk.
I felt lonely among all these people.
During the first month in America, I worked in a factory on an assembly-line. Every night, I was very tired but it was the only way to earn money.
Sometimes, before going to sleep, I am very homesick and I wonder how my life would be if I was still there. I miss you a lot that’s why I will send you many letters every month and once a month I will send you money.
Love,
Rosy
DECLOUX ANAIS/PHALIER MARLENE 2°8
D’après l’album de Shaun Tan Là où vont nos pères,
Anaïs et Nolwen imaginent le départ d’un homme, forcé de s’exiler vers un pays inconnu....
Travail réalisé en espagnol.
Portugal, Turquie, Italie, Espagne, Laos, Colombie, Viet Nam, , Bénin, Russie… 27 pays déjà représentés !Emma tire le fils depuis le Portugal.
A suivre…
Il s’agit d’une exposition de 28 portraits photographiques de Gilles Perrin qui retracent autant d’histoires personnelles et de destins singuliers.
Des portraits pour entamer les stéréotypes et les préjugés, des portraits pour dire la diversité des origines, des histoires. Pour dire aussi la double culture, les compétences et les engagements multiples qui participent ainsi à l’enrichissement du territoire.
Rencontre avec Gilles et Nicole Perrin
Crédit photo : CDIperrier