Charlatans ! Escrocs ! Menteurs ! Tricheurs !

Charlatans, escrocs, menteurs et tricheurs de toutes sortes dans l’Antiquité », 11ème édition du Festival des Langues Anciennes

C’est avec enchantement que les classes latinistes de 2nde et 1ère ont participé à la 11ème édition du Festival des Langues Anciennes, le 22 mars 2016 !

Chaque année, aimablement accueillis dans l’enceinte du Conseil Départemental de la Corrèze, collégiens et lycéens se retrouvent pour faire revivre la belle époque romaine, le temps de quelques pièces de théâtre, que nous avons imaginées avec nos « magistrae ». D’ailleurs, d’entrée de jeu, nos élèves de seconde favoris ont ouvert le bal par leur spectacle, qui a épaté et amusé l’assemblée, devenue romaine l’espace d’un jour. Autant vous dire que la joie et la bonne humeur ont vite été proclamées ! Nous avons également assisté aux représentations des autres établissements, mais aussi aux redoutables quiz de la grande prêtresse, Madame Granier (sourire), qui ont vu s’affronter « discipuli » et « discipulae »…

DSCF2104

Mais, ce n’est pas tout ! Car, au beau milieu de l’après-midi, alors que la chaleur se faisait rude et que nous étions enveloppés par l’univers des charlatans et escrocs, nous avons dû nous mettre, à notre tour, dans la peau de ces farouches Romains, pour interpréter notre saynète,  Carolus exspectat  (qui signifie « Charles attend »). Il nous a été aussi demandé de vendre à nos « spectatores » toutes sortes d’objets, aussi farfelus les uns que les autres, je dois l’avouer, à la façon du meilleur bonimenteur, avec à la clef… l’acclamation du public et surtout un collier de nouilles, trophée remporté par deux élèves de la classe de 1ère !

Pour terminer cet article, souvenir d’une agréable journée, je dirais… que nous avons apprécié d’être téléportés au temps de la Rome antique et de ses rocambolesques histoires qui animaient les cités d’antan.

DSCF2106

DSCF2116

Il ne nous reste plus qu’à dire : « Vivement l’édition 2017 ! ». Alea jacta est...

Amandine LEGROS, latiniste de 1ère L1.

Tapis rouge pour les élèves de Littérature et société

Au festival du Moyen métrage
Au festival du Moyen métrage

Les élèves de littérature et société ont passé la journée du 07 avril au cinéma le Rex de Brive dans le cadre des Rencontres Européennes du Moyen métrage de Brive. La matinée a été consacrée aux projections de la programmation scolaire  : CHANSON D’AMOUR ET DE BONNE SANTE de João Nicolau et  INUPILUK de Sébastien Betbeder. Des films d’auteurs qui ont surpris les lycéens et collégiens par leurs formes mais aussi par leurs contenus. La discussion animée par Romain Grosjean, responsable des scolaires pour le festival,  a permis aux élèves de s’exprimer sur leur ressenti vis à vis des films : présence des sous-titrages, incompréhension vis à vis de certaines scènes… C’est là aussi toute la mission d’éducation à l’image du Festival qui met un point d’honneur à accompagner les programmations scolaires afin de susciter le questionnement et la curiosité des jeunes spectateurs.

L’après-midi les projections proposées faisaient partie de la compétition officielle. Le jury des professionnels du cinéma, présidé par Pascale Ferran, était donc présent dans la salle ainsi que le jury jeunes*. Les élèves ont été sollicités afin de donner leur avis sur les deux films vus : LA BANDE à JULIETTE de Aurélien Peyre et L’ILE JAUNE de Léa Mysius et Paul Guilhaume.

Cette journée s’inscrivait dans le cadre du programme d’éducation au regard face aux images que les professeures qui encadrent l’enseignement littérature et société ont initié avec le groupe 48 élèves de seconde. Un programme qui va amener les lycéens à réaliser eux-mêmes un petit film dans les jours qui viennent.

* deux élèves du lycée Edmond Perrier faisaient partie cette année de la composition du jury jeunes du Festival : Ezilda Vareille élève de seconde et Arthis Billon élève de 1ère. Ils feront part de leur semaine exceptionnelle dans un prochain billet.

RENCONTRE PASSIONNANTE AVEC XAVIER MUNTZ

Le reporter de guerre a raconté son expérience aux lycéens

Le vendredi 18 mars, les élèves de seconde du lycée Edmond Perrier de Tulle participant à l’enseignement littérature et société, accompagnés de quelques volontaires, ont rencontré Xavier Muntz, réalisateur documentariste et reporter de guerre.

DSC_0767

Le réalisateur de « Encerclés par l’État Islamique », diffusé sur Arte dans l’émission Thema le 10 février 2015, a accepté de participer à une rencontre avec les élèves qui ont étudié son film. Xavier Muntz est réalisateur indépendant mais il a d’abord débuté sa carrière dans la presse écrite, puis a fait de nombreux documentaires et enquêtes pour la télévision. Il a d’abord sillonné l’Amérique latine avant de s’intéresser aux conflits du Moyen-Orient et d’Afrique. Dans « Encerclés par l’État Islamique , qui réalisera une audience record et qui lui vaudra le prestigieux prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre, Xavier Muntz suit la résistance sans relâche des yézidis, une minorité kurde, assiégés par Daech sur le Mont Sinjar dans le Kurdistan irakien. Il a passé 20 jours auprès des combattants et combattantes kurdes.

Il est 14h30, la cinquantaine de lycéens sont impatients en salle de conférence. Ils attendent la venue de Xavier Muntz, qui a quelques minutes de retard. Dès son arrivée, il est chaleureusement accueilli par un court film de présentation réalisé par les élèves. Xavier Muntz se prend rapidement au jeu et répond à la multitude de questions posées : « Quelles étaient vos conditions de vies sur le Mont Sinjar ? » ; « Avez-vous toujours des nouvelles des combattants, que vous avez rencontrés ? » ; « Comment gériez-vous votre peur sur place ? »…

Avec cordialité et précision, le reporter de guerre décrit son expérience, son ressenti, et ses conditions de vie « Il n’y avait que de la chèvre bouillie à manger, confie-t-il. Et, ce n’est pas ce que je préfère ! Les combattants étaient bien contents d’avoir une portion supplémentaire ! ». Il ne parle que quelques mots courants de kurde : il doit donc réaliser les interviews à l’aveugle et attendre la traduction en post-production pour comprendre. Il a également expliqué les raisons qui ont précipité son retour en France. Le jour de Noël, il téléphone à ses enfants avec son téléphone satellitaire – pour que la communication puisse passer, il s’est mis sur le toit d’un bâtiment « Pendant que je leur parlais, Daech commencait à nous pillonner. Au fur et à mesure, ils ajustaient leurs tirs. Je ne voulais pas que mes enfants entendent ça et qu’ils me demandent ce que c’était. Je ne voulais pas que ma mort ne gâche tous leurs Noëls à venir. ».

Il a également expliqué le montage mouvementé. Les locaux de Premières Lignes, la société qui produit le film, sont en effet voisins de ceux de Charlie Hebdo. Le 7 janvier 2015, jour des attentats, Xavier Muntz devait commencer à monter le documentaire. Le tri des images, l’écriture et le montage du reportage prend du retard. Le réalisateur mobilise donc deux salles de montage et tous ses efforts pour le finir à temps.

Xavier Muntz revient à peine d’Afrique de l’Ouest, travaille déjà sur d’autres projets et se prépare pour de futures aventures journalistiques. La rencontre, quant à elle, était passionnante et enrichissante mais trop courte au goût des lycéens.

Loïck MASSONNAUD

NB : Cette rencontre s’inscrivait dans le dispositif Télémaques mis en place au niveau national par l’association Savoir au présent. Dispositif d’éducation qui a pour objectif de former le regard des jeunes face aux images de télévision. Le dispositif associe Arte, France2, France3 et la Scam, ainsi que de nombreux professionnels de l’audiovisuel : réalisateurs, monteurs, producteurs, autour de programmes documentaires et de fiction sélectionnés par un jury.

 

Les médias à l’honneur

Du 21 au 26 mars a lieu la 27ème semaine de la presse et des médias à l’école.

Le thème de cette édition est « La liberté d’expression : ça s’apprend ».

Les diverses actions menées à l’occasion de la semaine de la presse visent à aider les élèves à comprendre le système des médias, à former leur jugement critique, à développer leur goût pour l’actualité et à forger leur identité de citoyen.

A cette occasion, les professeurs documentalistes mettent à disposition un kiosque comprenant de nombreux titres de journaux et magazines ainsi qu’une table thématique composée d’ouvrage sur la presse et les médias.

Cette même semaine, les élèves de 2nde de littérature et société ont eu l’occasion de rencontrer Xavier Muntz, réalisateur du documentaire Encerclés par l’état islamique sur lequel ils avaient travaillé.

Affiches SPME 2016_5.indd

J’avancerai vers toi avec les yeux d’un sourd

A l’occasion de la projection publique du film de Laetitia Carton « J’avancerai vers toi avec les yeux d’un sourd » qui a eu lieu à Tulle le 08 février au cinéma VEO, une projection a été spécialement organisée pour les élèves du lycée Edmond Perrier et du collège Clémenceau pratiquant la Langue des Signes Française.
Le groupe d’élèves, une trentaine en tout, était composé de collégiens suivant des cours de sensibilisation à la Langue des Signes Française, de lycéens qui ont choisi l’option LSF pour le Baccalauréat, ainsi que d’élèves sourds et malentendants locuteurs de cette langue.
Les élèves, accompagnés de leurs professeurs de LSF, ont ainsi pu découvrir un documentaire très riche qui met en avant la culture sourde et l’importance de la langue des signes comme langue de communication, d’expression et d’enseignement pour les personnes sourdes.
Après la projection, une discussion a eu lieu avec Laetitia Carton, la réalisatrice. Les élèves ont exposé leur ressenti par rapport au film, découvrant à cette occasion la communauté sourde, ses particularités, ses difficultés , sa richesse également. Une belle rencontre qui a été possible grâce à un partenariat entre Peuple et Culture, Veocinéma et le lycée Edmond Perrier.

Catherine Guéziec.

8 mars

A l’occasion de la journée internationale pour les droits des femmes une table thématique est installée au CDI

 

IMG_0559[1]

vous pouvez y retrouver une partie des ouvrages traitant des thématiques liées aux droits des femmes telles que : la lutte contre le sexisme, l’histoire de la loi Veil, le rôle des femmes dans l’histoire,  l’histoire du féminisme et de l’émancipation des femmes….

crédit photo : cdiperrier

IMG_0560[1]

A noter également la revue : FEMMES ICI ET AILLEURS, nouvel abonnement disponible au CDI.

IMG_0561[1]

CARTOONING AU CDI

Nous avons la chance d’accueillir dans nos murs l’exposition Dessins pour la Paix réalisée par l’association  Cartooning for peace.

source : http://www.cartooningforpeace.org/Cette association est présidée en France par Plantu, dessinateur notamment au quotidien Le Monde.

 

Une expo qui vise à montrer comment le dessin de presse interroge les idées reçues que chacun peut avoir  sur des thématiques fortes telles que :
«la  Liberté d’expression »,  « Dessins et religion », « Censure », « Rôle d’internet », « Racisme », « Proche-Orient »,  « Droit des femmes » ou encore  «l’écologie ».

Une exposition à découvrir au CDI  du 07 au 18 mars

Dessins pour la Paix . Crédit photo : Cartooning for peace
Dessins pour la Paix . Crédit photo : Cartooning for peace

 

C’est la section  MGEN (Mindexutuelle Générale de l’Education Nationale du Limousin) qui a acquis cette exposition et qui la propose gratuitement aux établissements scolaires.

Une rencontre d’enfer !

Jo Witek et ses lecteurs (Photo Agnès Gaudin / La Montagne)

Dans le cadre du Prix Passerelles, Jo Witeck est venue nous présenter son livre : Un hiver en enfer. Nous avons eu la chance de rencontrer cette auteure jeunesse, le jeudi 11 février 2016. Pendant deux heures, nous avons discuté avec cette femme pétillante, débordante d’idées, et épanouie par son métier. On a appris beaucoup de choses concernant ce métier, ses sources d’inspiration et tout le travail qu’il y a autour d’un ouvrage.

Il s’est avéré que Jo est aussi une femme pleinement engagée dans la lutte contre le sexisme. Nous n’avons pas été les seules à avoir été émues face à sa façon de nous transmettre ses pensées. Tour à tour, nous avons posé nos questions et elle a su y répondre avec autant d’adresse que lors de l’écriture de ses livres. L’application qu’elle a apportée à son livre, nous l’a fait voir différemment.

Pour finir, nous dirons que cette rencontre qui promettait d’être utile et fort sympathique s’est révélée l’être encore plus. Alors merci Jo Witeck pour cet excellent moment.

PS : Foncez au CDI pour vous régaler avec cet excellent thriller.

Amélie et Cyrielle

NB : voir aussi l’article de La Montagne du 12/02/2016 ici

A ne pas rater également la Bande annonce Un hiver en enfer réalisée par Ezilda et Lilou.

 

Tulle’s rugby players come and share time with European Section students in Edmond Perrier

On Tuesday 13th October 2015, we met 2 foreign professional rugby players who play for the SCT (Sporting Club Tulliste)  Nicholas Dodgen and Ionut Florea, in order to interview them and ask them some questions about their lives here in France and their careers.

Ionut Florea et Nicholas Dodgen
Ionut Florea et Nicholas Dodgen

Ionut Florea is Romanian and he is 27 years old. He began rugby in a small town in Romania. He played number 10 in the Bucarest team with which he did the Challenge cup. He likes stability. That is why he doesn’t often change club. He has caps in the Romanian national team, at rugby 15 and rugby 7. He has already played against Japan, Tonga, the Wallabies of Australia and it was a really rewarding experience.

On the pitch, he plays number 10 (fly-half).

He came to France for competitions and he stayed there.

His favourite French team is Biarritz. He would like Australia or Wales to win the World Cup.

He has 2 favourite players: Johnny Wilkinson for his discipline and Brian O’Driscoll from  Ireland.

He loves rugby in general: the “team spirit”, the supporters and especially the vibes and the “third half time”.

His best memories are his first game in the national team  when he sang the Romanian anthem and also when he won a trophy in 2010. But better than that, he saw the Haka of Tonga, at this moment he had goosebumps.

He thinks there are official rules in rugby but also non-official rules of education: “if you want to be respected, you have to respect the other”.  When the coach speaks nobody speaks at the same time and when the referee speaks you can’t speak and you must respect him.

He dislikes violence. He has never been hurt badly. For him, there is no sport in which you can’t be hurt. In the statistics there are more injuries in football than in rugby.

InTulle, he trains 4 times a week. It is important for him to speak French with his coach and teammates in sign of respect.

He felt homesick the first 6 months but for him his team is like his family so he was too sad, even if he missed a lot of things, like his family. “Every time I return to Romania, it is hard to leave” he says. He thinks Tulle is quiet and people are very friendly, and he likes the French culture but he thinks people in France are less easily pleased than in his country.

Nicholas is South African . He is from Durban and he is 24 years old. He started to play at 10. He used to play in the Baby Boks, the South African team for young players. He played one season in Durban for the Sharks. In South Africa, Nicholas didn’t work, he earned money by playing rugby. After a serious injury, because of which he didn’t know if he would be able to play again, he came to France. Here he is training to work as a plumber and playing for Tulle.

He can play a lot of positions on the field, but he doesn’t often score tries because he plays in the forwards.

For him, respect is important because in a team they must work together and talk with their teammates. In his career, he only fought 3 times with opponents, and he respects his opponents.

His favourite players are Richie Mc Caw, the captain of the All Blacks who won the Rugby World Cup this year and Schlake Burger, who plays on the South African national team.

He likes going out on the field and just having fun with friends. He says “People change on the field” but maybe that is one of the best points of this game.

Now in Tulle he trains 3 times a week, on Tuesdays, Wednesdays and Fridays. Even if it is just a game, he always feels pressure before a match. “If you are not nervous it is not good (…) I just keep calm and focus on my job.”

He is a happy to live in France because he admires the French spirit of mutual aid, although he misses his homeland especially the sea and the weather.

He felt homesick for his first season in France because he couldn’t speak French.

To conclude, when they talk about the moment when they will retire, they both want to stay in the world of rugby. Nicholas wants to become part of the staff of a club but he doesn’t see himself coaching teams. Ionut would like to work as a professional referee and he began his career by passing the first step.But as Nicholas said “Don’t forget rugby is only a game!”

Nicholas and Ionut were very friendly and we enjoyed this interview because it was very interesting to speak with them.

les élèves de la section euro

 The European Section Students (602/605/606)

 Les professeurs ainsi que les élèves remercient les joueurs ainsi que le staff du SCT pour leur contribution et leur présence amicale.

C’est quoi une librairie engagée ?

Vendredi 11 décembre, les élèves de seconde participants au Prix Passerelles se sont rendus à la Librairie Chantepages * qui est spécialisée dans les livres jeunesses. Ils ont pu échanger idées, avis, impressions autour de la littérature en compagnie de deux libraires passionnées.
Elles ont eu l’aimable obligeance de se prêter au jeu de l’interview, de partager leurs expériences et leurs points de vue littéraires avec les élèves. Tout d’abord les secondes ont pu découvrir que la librairie Chantepages était une librairie « coopérative », c’est-à-dire une librairie où chaque employée détient une part de la société.
Ensuite les libraires se sont vues poser une question primordiale dans leur métier ; « Comment faire pour choisir un bon livre ? ». Elles ont expliqué que leur premier critère était de commander des livres n’encourageant pas les stéréotypes. Ainsi les libraires ne veulent pas que les fillettes soient cantonnées à lire des livres où sont mise en scène des princesses vêtues de robes roses à paillettes, ou que les garçons soient limités aux livres de mécanos.
Par la suite elles ont expliqué avoir chacune leur domaine de prédilection ; l’une s’occupe des albums tandis que l’autre se charge des romans.
Les libraires nous ont confié que dans leur métier ce qui les intéressaient était de pouvoir parler, échanger autour de la littérature auprès des personnes qu’elles sont amenées à rencontrer dans leur métier, qu’elles soient férues de littérature ou non.
Une des libraires a expliqué également qu’elle se déplace d’école en école pour présenter les livres aux instituteurs, permettant ainsi d’éveiller l’imagination des enfants.
Après une heure d’échange les élèves de seconde ont eu beaucoup de mal à quitter la librairie pour regagner leurs classes. Nonobstant avant de partir les élèves ont eu la chance de découvrir le nom de l’auteure qui leur rendra visite dans le cadre du Prix Passerelles : Jo Witeck, l’auteure du livre Un hiver en Enfer.
Malheureusement pour les non-participants au Prix Passerelles : vous ne pourrez emprunter ce sublime ouvrage au CDI que l’année prochaine, cette année il est réservé aux 42 inscritEs !

Louise Lamiche 2nde 9

chantepages

Source image  librairies-sorcieres.blogspot.com

* : Librairie Chantepages 29 avenue Charles de Gaulle – Tulle