Dans l’affaire Hocine je jouais le rôle de Steeve qui est un des prévenus. Les particularités de mon rôle sont qu’en tant que prévenu je dois me défendre. Pour cela je suis aidé de mon avocat dont la mission est d’essayer de prouver mon innocence ou de réduire au maximum la peine.
Le personnage que j’ai incarné est celui d’un garçon âgée de 17 ans avec un cassier judiciaire bien rempli.
En classe nous avons d’abord travaillé sur l’organisation de la justice française puis sur le dossier de l’affaire Hocine.
Pour mon rôle, je n’avais pas un travail difficile à réaliser malgré l’importance de mon personnage.
Lors du procès j’étais stressé par rapport à ce que je devais dire et par rapport aux questions que l’on allait me poser, mais après être passé à la barre j’ai trouvé qu’écouter tous les acteurs du procès était assez long.
Le procès reconstitué m’a apporté une bonne expérience pour la prise de parole en public, pour éloquence, la gestion du stress, l’argumentation et aussi l’improvisation. J’ai donc aimé jouer dans ce procès reconstitué.
Dans le cadre du projet de procès reconstitué, nous avons eu à jouer l’affaire Hocine. Il s’agit d’un règlement de compte entre des jeunes de cités différentes. La victime est Hocine qui s’est fait agresser par 2 de ses camarades Steeve et François. Hocine, est le rôle que j’ai joué dans cette reconstitution. Il a subi de nombreux coups pendant l’agression entraînant une ITT de 20 jours.
Dans le procès j’ai dû me défendre avec l’aide de mon avocate. Pour cela, nous nous sommes basé sur l’incohérence des 1ère dépositions pour que justice soit rendue. En amont du procès, je ne savait pas par où commencer. Il a déjà fallu que je comprenne quelle était la fonction précise de chaque intervenant dans un procès, comme par exemple le rôle du procureur. Ensuite pendant le procès j’ai eu beaucoup d’appréhension, mais à la barre la pression est redescendue. J’ai aimé voir l’aboutissement d’un travail commencé au début de l’année.
Enfin, le procès reconstitué à été une expérience très enrichissante, elle m’a tout d’abord permis de m’entraîner à avoir un discours cohérent en public et ce malgré la pression. J’ai donc dû gérer mon stress.
Dans l’affaire que nous avons reconstituée, Hocine un jeune homme porte plainte pour s’être fait agresser physiquement au lycée. Alexandra, Steeve et François sont les 3 jeunes mis en cause dans cette affaire.
J’ai joué l’avocate de François un des mis en cause. Mon rôle était de le défendre en trouvant des éléments prouvant son innocence ou des circonstances atténuantes. Je trouvais toutes ces informations dans un dossier distribué par les professeurs.
Le travail en amont s’est plutôt bien déroulé, cependant j’ai trouvé les séances un peu courtes (1heure toute les deux semaines) par rapport au travail attendu. Le temps est passé très vite et le jour du procès est arrivé plus rapidement que je l’avais prévu, j’ai été stressé de ne pas avoir fait le travail demandé (rédaction des plaidoiries…) pour le jour-J.
Malgré le trac avant que le procès ne commence, j’avais hâte de voir comment il allait se dérouler. Cela a duré plusieurs heures et c’était très intéressant, c’était seulement un peu long. Etant avocate, j’avais un rôle assez important et j’intervenais régulièrement ce qui m’a aidée à entrer dans la peau de mon personnage.
J’ai trouvé cette expérience très enrichissante. Les procès étant rarement filmés, on a souvent une image fausse véhiculée par les films et les séries. Cela m’a permis d’avoir une vision plus réaliste. C’est aussi un très bon entraînement pour prendre la parole en public.
Les élèves de l’enseignement d’exploration Littérature et société ont assisté à deux séances de projection.
Le matin était consacré à une séance autour de Laëtitia Dosch : après le visionnage deVilaine fille mauvais garçon de Justine Triet et de Extrasystole de Alice Douard,l’actriceest venue à la rencontre des élèves. Pétillante actrice qui a confié être ravie de rencontrer le public lycéen, elle a su captiver les élèves grâce à son énergie, ses anecdotes de tournage et sa générosité. Les applaudissements ont été bien nourris pour la remercier.
Petite précision : Laëtitia Dosch était un des 5 membres du jury du festival.
L’après-midi les élèves ont participé aux projections de deux films en compétition : Les Amoureux de Pablo Dury et Falaises de Sébastien Téot et Martin Tronquart. Projections suivies de rencontres avec les réalisateurs mais aussi, et c’était une surprise, avec 3 des comédiens. A noter également que chacun a pu voter car chaque spectateur est amené à donner sa voix pour le Prix du public.
Deux des élèves du groupe faisaient cette année partie du jury jeune : Anaïs Bordes et Anaël Battut. Elles ont donc passé une partie de la semaine en salle de projection. Elles livreront bientôt quelques informations sur cette expérience…
Dans la cadre du Printemps des poètes ayant pour thème cette année la beauté, l’association les Petits pois sont rouges (Tulle) a organisé un concours de poésie intitulé Polypoésies. Ce concours était proposé d’une part aux moins de 12 ans et d’autre part aux moins de 18 ans. Lucie L. élève en classe de 1ère S est la lauréate du concours dans la catégorie moins de 18 ans.
La colère ne m’emporte pas,
Elle est belle. Ses yeux en amande, Ses cheveux qui ondulent.
Un oiseau passe au dessus de nous.
Jamais je n’avais ressenti une telle
angoisse à propos du
calme
qui pourrait m’envahir.
Je ne demandais que lui,
Le calme.
Est-il présent,
Là, S’immiscant entre nos deux corps ?
Est-ce lui qui nous sépare ?
Le calme ?
La girouette de mes sentiments ne perturbe pas son regard posé sur moi.
Elle est présente, A seulement quelques pas de moi, Me faisant face,
Ses pieds ancrés au sol.
Aucun geste ne trahit sa contemplation.
Aucune ligne ne se creuse sur son visage.
Les vrombissements de mon cœur ne se propagent pas jusqu’à mes pupilles.
Delphine De Viganest une romancière française de 52 ans. Elle est l’auteure de nombreux livres ayant reçu un bon accueil des lecteurs.
En effet, en 2000, elle publie, sous pseudonyme, son premier romanJours sans faim inspiré par son combat contre l’anorexie. Elle écrit ensuite No et moi, prix des libraires 2008, qui a été adapté au cinéma par Zabou Breitman, puis Des heures souterraines en 2009.
En 2011, elle rencontre un très grand succès de librairie avec le roman Rien ne s’oppose à la nuit, racontant l’histoire de sa mère, qui obtient plusieurs prix : prix Fnac, grand prix des lectrices de Elle et Renaudot des lycéens. Enfin, son livre D’après une histoire vraie a été couronné par le prix Goncourt 2015, et a été, lui aussi, adapté au cinéma par Roman Polanski.
Son neuvième roman, Les Loyautés, vient de paraître : il dresse le portrait de deux enfants en détresse, Théo et Mathis.
Delphine de Vigan mène également une carrière au cinéma en écrivant un scénario et en réalisant un film nommé À coup sûr en 2013.
Dans les coulisses de la foire.
Le/la président(e) de la FDL est choisi(e) par le maire et cinq ou six autres personnes. Ils se réunissent et proposent des auteurs puis débattent sur leurs choix ; c’est enfin le maire qui délibère. Cette année c’est le maire de Brive, Frédéric Soulier, qui a souhaité la bienvenue à Delphine De Vigan.
Elle s’est investie dans la programmation et a proposé des découvertes littéraires et musicales au public. Elle a invité à son tour 10 auteurs pour leurs ouvrages, leur talent, ou pour les encourager dans leur entrée dans le monde de l’écriture. Elle a ainsi présenté trois jeunes auteures éditées par de petites maisons d’édition : Sophie Divry, Adeline Dieudonné et Sylvia Rozelier.
La Foire du livre est un grand rassemblement d’auteurs (300 !), d’illustrateurs, de libraires et d’éditeurs (100 !). L’entrée est gratuite et il y a un très grand nombre de visiteurs, passionnés de littérature, qui viennent à la rencontre des auteurs. Dans ce genre de manifestation il est obligatoire qu’il y ait un service de secours. Mais qui sont ces personnes qui s’occupent des secours, ? Que font-elles ? Combien sont-elles ?
Nous avons pu poserdes questions à certains membres de la Croix Blanche qui étaient présents sur le site de la Foire.
Quelques précisions sur la Croix Blanche : c’est une « Fédération des Secouristes Français » créée en 1892. Elle est présente dans 65 départements sur le territoire métropolitain mais aussi dans les départements et territoires d’Outre Mer, soit 188 associations locales. Elle poursuit aujourd’hui ses activités, respectueuse de ses principes d’indépendance, de neutralité et de bénévolat. Leur écusson est rouge et bleu, pour représenter les couleurs de la ville de Paris, avec une croix blanche au centre, l’ensemble constitue le drapeau français.
Précisons aussi que les membres de la Croix Blanche à la Foire du livre sont bénévoles.
Pétillantes actus de Perrier : Quels sont leurs fonctions ?
Croix Blanche : La Croix Blanche est une association de secouristes qui veillent au bon déroulement des rassemblements comme celui de la foire du livre. A cause de la chaleur les visiteurs peuvent ressentir des malaises comme des évanouissements par exemple. Des accidents peuvent se produire également suite à des mouvements brusques de foule. Il peut y avoir des mouvements de panique.
Pétillantes actus de Perrier : – Combien de bénévoles circulent dans la Foire du livre ?
Croix Blanche : – Dans la Foire du livre, il y a au minimum 6 personnes qui circulent. Les effectifs changent au cours des 3 jours. Seulement 3 bénévoles et le chef des secours restent 3 jours sur place.
Les secouristes apaisent tous les visiteurs par leur présence. Ils sont facilement identifiables grâce à leur uniforme. Il y a un poste de secours qui est également visible grâce à une bannière à l’intérieur du bâtiment et à leur camion à l’extérieur.
Lors de la Foire du Livre de Brive, les 9-10 et 11 novembre 2018, les Pétillantes actus du Perrier ont interviewé plusieurs journalistes. Voici celle de C. Raffaillac, rédacteur en chef du groupe Notariat service .
Évidemment, en venant à la Foire du livre on ne s’attendait pas à tomber sur un magazine d’information du cours de l’immobilier (gratuit) dédié aux notaires et aux juristes… Mais cela montre la diversité des organes de presse et sociétés intéressés par cette foire.
Ce magazine, donne des conseils immobiliers et transmet des annonces immobilières. Il y a aussi une rubrique «ludique», à caractère plus «léger», entendez par là une rubrique culturelle pour entrecouper la montagne des lourdes informations techniques que propose Notariat Service. D’ailleurs, c’est le travail du rédacteur en chef de choisir la ligne éditoriale du journal.
Cela fait trois ans que le magazine est présent à la Foire du livre et couvre cet événement en interviewant des personnalités du livre. Les interviews d’auteurs portent sur le sujet des ouvrages si celui-ci est autour du monde de l’économie par exemple. Ou encore sur ce qui a motivé l’écriture. Les questions peuvent également s’orienter vers les projets immobiliers éventuels des auteurs (ne pas oublier le thème du magazine !). Il n’y a pas beaucoup d’écrivains qui publient des livres sur l’économie et encore moins sur le cours de l’immobilier. Les auteurs interviewés sont plutôt choisis en fonction de leur notoriété, ce qui favorise l’attrait des lecteurs.
Cette agence de communication est basée à Pompadour (19) et cible un public régional et national (44 départements !). Il était important de parler de la Foire du Livre, un évènement local attirant avec un rayonnement national, et d’y être présent .
Il ne faut pas oublier qu’un journal doit être lu. Il arrive donc souvent dans des groupes de presses de choisir des personnalités non pas en fonction de ce qu’ils ont à dire ou à apporter mais en fonction de leur audimat !
N’oubliez pas d’avoir un regard critique sur la redondance des sujets sur les médias, car il peut se passer plein de choses intéressantes, qu’elles soient graves ou joyeuses, mais qui sont évincées et tues car cela «n’intéresserait personne».
E.M.
A l’occasion de la Foire du livre de Brive, nous avons eu l’occasion de questionner
Jean-Marc Ferrer, responsable éditorial des Ardents éditeurs, maison d’édition située à Limoges depuis 11 ans.
Nous nous sommes intéressées plus particulièrement au processus de publication d’un livre.
Premièrement, une personne écrit un livre. L’auteur est le moteur d’un livre : c’est la personne qui crée le livre. Une fois le livre écrit et l’auteur confiant dans son manuscrit, il l’envoie à une ou plusieurs maisons d’édition de son choix.
Les maisons d’édition ont généralement un comité de lecture qui leur permet de juger le contenu du livre. Certaines préfèrent un comité bénévole, certaines un comité professionnel (c’est à dire rémunéré). La plupart des manuscrits sont très rapidement écartés, les quelques rescapés sont transmis à la direction (dans notre cas Jean-Marc Ferrer). C’est ce dernier qui va juger si le livre peut éventuellement être publié ou non. Il nous a confié lire parfois 5 ou 6 fois le même ouvrage.
Cependant, Les Ardents éditeurs ne choisit pas les personnes avec qui elle va travailler seulement par rapport au contenu et aux qualités d’auteur, mais aussi sur la capacité à aller au contact des gens, à s’impliquer dans l’activité de la maison d’édition, etc.
Une fois le livre et l’auteur sélectionnés, on passe à l’étape de la relecture : l’auteur ainsi que quelques personnes de la maison d’édition (certaines personnes du comité de lecture, le directeur, ou des professionnels dans certaines agences) se réunissent afin de pointer les erreurs ou incohérences, c’est-à-dire les choses à changer et à améliorer.
Ces »réunions » vont se répéter jusqu’au moment où l’ouvrage sera »parfait », soit prêt à être imprimé.
C’est maintenant au graphiste d’intervenir afin de « mettre en image » l’histoire. Il doit imaginer et réaliser la couverture, et dans certains cas, des illustrations pour l’intérieur du livre.
Il doit bien sûr choisir une couverture en lien avec le contenu du livre mais aussi prendre en compte tout ce qui se fait et ce qui fonctionne sur le marché. Par exemple, sur une certaine illustration, le graphiste devra choisir du vert, du bleu, du rouge etc.
Le choix de l’illustration est discuté mais c’est l’éditeur qui prend la décision finale.
Par la suite, l’éditeur va s’occuper de toutes les démarches avec l‘imprimeur.
L’assistante commerciale va s’occuper de négocier et de faire distribuer le livre dans différentes librairies et grands distributeurs.
Quel est le rôle d’un éditeur dans une Foire du Livre ?
Le rôle de l’éditeur n’est pas simplement de surveiller ses auteurs.
Tout d’abord, il s’occupe de répondre aux questions de la presse et des différentes personnes en ayantun esprit critique. C’est un rôle majeur car ses réponses vont représenter ses auteurs, livres et bien sûr sa maison d’édition. Il doit donc faire très attention à ce qu’il dit et faire en sorte que ses mots représentent positivement sa maison d’édition.
Il doit aussi s’occuper de toute l’organisation à la place des auteurs : réserver leur hôtel, vol/train et vérifier que tout se passe bien.
Son dernier rôle est de se promouvoir au maximum : tracter (c’est-à-dire distribuer de petites affiches à l’effigie de la maison d’édition), discuter avec les visiteurs, et peut être les convaincre d’acheter un de ses livres.
Conseils pour les futur écrivains
La plupart des auteurs que nous avons interrogé nous ont conseillé de beaucoup regarder autour de soi. Pour la plupart, leur inspiration vient de la vie courante : leurs proches, ou les passants dans la rue.
L’un des auteurs rencontré nous confie : « Notre cerveau est une éponge l’éponge se gonfle au fur et à mesure de la journée, selon ce que vous observez, sentez, entendez. Servez-vous de la réalité pour faire de la fiction. »
Après que notre éponge a absorbé assez d’informations, il faut se lancer, écrire ce qui nous passe par la tête, se relire, éventuellement faire lire son travail par quelqu’un. « Il faut être travailleur, rigoureux et opiniâtre », nous a affirmé Véronique Bréger, bâtisseuse d’histoires.
Une autre conseil serait de se faire confiance, suivre son inspiration et surtout ne pas essayer de calquer son style d’écriture sur celui d’un auteur qu’on aime beaucoup ou la trame de son histoire sur un livre qu’on a beaucoup apprécié.
Le plus important est de savoir où l’on va avec son récit. L’idéal serait, avant de commencer le travail d’écriture, d’avoir déjà écrit au préalable la trame principale, comme un »storyboard’, c’est-à-dire savoir à peu près ce qu’il va se passer dans chaque scène. Après cette tâche un peu fastidieuse, il est beaucoup plus simple d’écrire.
Le dernier conseil est de ne pas avoir peur de beaucoup travailler et il ne faut pas être fainéant.
L’écriture est une dure tâche, beaucoup d’écrivains sont très perfectionnistes et l’on ne semble jamais arriver à la fin de l’histoire.
Il ne faut pas avoir peur d’écrire toute une après-midi pour au final ne plus aimer et tout jeter pour tout recommencer.
Quelques conseils de lecture des personnes rencontrées
¤ Le club Dumas d’Arturo Pérez-Reverte
¤ Le Rat rouge de Véronique Bréget
¤La nuit des temps de René Barjavel
¤ La malédiction du Stradivarius de Philippe Morane
¤ Feel de Vie de Marine Montazaud
¤ Sois-toi et change le monde : et si c’était le moment ? de Dain Heer
¤ Le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie de Virginie Grimaldi
Que se cache derrière la belle devanture de la foire du livre ? Grâce à qui et par quels moyens pouvez-vous y passer un aussi bon moment ?
Pour vous, nous sommes allés enquêter sur les dessous de la Foire, afin de vous transmettre les secrets de cette remarquable organisation !
Pendant cette journée, qui veille sur vous ?
Vous serez soulagé d’apprendre qu’en cas de malaise ou de problèmes de santé dus à la foule compacte qui parcourt les allées de la Foire, des pompiers seront présents et à l’affût, au niveau de toutes les structures.
Vous aurez certainement l’occasion de repérer les agents de sécurité formés à repérer tout élément perturbateur susceptible d’être dangereux de manière à assurer la sécurité totale des visiteurs. A noter aussi, que dans le cadre du plan vigipirate, des militaires sont également postés devant les entrées, par mesure de précaution.
Sans les bénévoles… pas de foire du livre ?
Les bénévoles sont principalement cette année des femmes, très accueillantes et chaleureuses. Elles se trouvent au niveau du vestiaire et de l’accueil. Elles reviennent chaque année, pour le plaisir simple de rendre service. Comme elles le disent si bien : “nous n’avons besoin de rien en retour, ça nous occupe un week-end, les personnes qui travaillent ici sont vraiment agréables et les visiteurs toujours satisfaits !” La partie vestiaire est gérée uniquement par ces bénévoles. A cet endroit, on récupère tout ce qui est manteaux et autres affaires des personnalités, auteurs et organisateurs afin de ne pas encombrer les stands.
Les bénévoles de l’accueil sont à votre disposition pour répondre à vos questions et vous donner un plan de la structure, pour ne pas vous perdre !
Avec toutes ces personnes, tout est programmé pour que cet événement soit le mieux organisé possible. Mais n’oublions pas que cette foire du livre reste formidable chaque année grâce aux lecteurs. Grâce à ces personnes qui lisent avec appétit, irrésistible besoin de connaissances et de belles histoires, l’art de l’écriture et ses bienfaits restent vivants !